Les hotesses de l'air...
Bien le Bonjou Ratousse,
L'autre jour, alors que j'attendais un biplan dans un aérodrome quelconque, je me fis la réflexion que les privilèges ne sont plus ce qu'ils étaient et que c'est d'un pénible achevé car en effet: aujourd'hui, tout le monde prend l'avion
Quand j'étais mome, prendre l'avion était un truc de nanti, ou tout au moins de classe supérieure: dans les aéroports on croisait de la gonzesse de compétition directement descendues de leur mini yorkshire-equiped, des James Bond alike au blaser impeccablement croisé, les hôtesses te souriaient et étaient canonissimes: toussa sentait bon la bourgeoisie d'enclos et non le métro place Clichy un jour de d'été quand Ramon aux pieds douteux te comprime le fessier que tu as sacrément hétérosexuel contre le cabat de Josy dont la bouteille qui dépasse menace de te péter une couille.
Force
est de constater qu'aujourd'hui tout le monde s'envole vers partout, et
que la clientèle Virgin n'est pas celle de la business class AA, quand
aux hôtesses, spa que je veux être méchant mais meme chez Air France on
atteint plus un niveau de libidomètre frétillant à coup sur: tout se
perd et les cheftaines de cabine fleurent souvent bon la pré ménopause:
certes elles furent fréquentable voir très, mais en 1985.
Bon vous me
direz: celles de chez Easy Jet sont jeunes mais elles sont en Jogging:
c'est pire.
Je crois qu'il est temps de manifester pour le retour du porte jarretelles aux contours que l'on devine sous la jupe bleu-marine, au chemisier pas vraiment transparent mais qui ne cache pas tout à fait le soutien gorge Aubade qui fait ce qu'il peut pour retenir une poitrine de chienasse en forme d'obus le tout entouré par une veste qui ne contient plus ce corps faiseur d'adultères cette démarche chaloupée dans les allées de l'A340 qui rend le voyage moins long
- t'as réparé ta mobylette à propos?
-
non, pas encore
Go Nuts!