Masterchef reloaded
Bien le Bonjou Ratousse,
Je
suis assez fan des réunions dans les chiottes ou les invités d'un diner
presque parfait vous annoncent que c'est quand même scandaleux que leur
hôte n'ai pas planté lui même les vignes du vin qu'il leur a servi.
J'abuse? Peut être un peu, mais foncièrement on en est des fois pas loin.
Toussa pour dire que lorsqu'on demande à quelqu'un ce qui ne va pas, il est toujours plus prolixe que pour exprimer ce qui va bien, et je garde pourtant à l'esprit qu'une bonne bouffe c'est sans doute de la technique mais aussi du plaisir.
On se dit donc que tous les concurrents là y sont par ce qu'ils aiment ça, et qu'il agitent la spatule avec le même enthousiasme qu'un ado agite autre chose par ce qu'il a découvert Youporn...
... Mais c'est sans compter sur le Bon, la Brute et le Truand, killers devant l'éternel dont le seul but est de réduire à néant les illusions culinaires des compétiteurs, sans compter que les concepteurs de l'émission ont trouvé que c'était une sacrée bonne idée de transposer l'aventure entre le micro onde et la poêle à frire par ce que n'oublions pas l'essentiel: Ces gens là sont des aventuriers!
Ah oui pté ow! je suis trop conetanete de conetinouer l'avanature
...déclare Ginette Oilpopol, ménagère de moins de 50 ans habitante de Marseille après qu'elle ait passé l'épreuve de la conception d'un Saint Honoré à base de saindoux et de restes de kébab au milieu d'un champs de mines.
Quand j'étais môme, la notion d'aventurier me ramenait plus volontiers vers Indiana Jones ou James Bond. Mais faut croire que le terme se galvaude autant que celui de star et qu'il n'y ait nul besoin d'escalader des falaises accroché à un fouet en flinguant les méchants de sa main libre.
Fouetter une crème en chantant Lady Gaga (Saint patronne des Alzheimers) suffit
Go Nuts!